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Séjour en Guadeloupe du 24 avril au 7 mai 2011.
J'ai totalement repensé mon équipement photographe en 2013, avec l'adoption d'un système Micro 4/3. Mais avant ça, quelques autres spécimens sont passés entre mes mains. À mon échelle et en fonction de mes critères de choix, c'est comme une sorte de condensé de l'histoire des appareils photos numériques, entre 2001 et 2021 !
Car la perspective donne le tournis : vingt années séparent mon premier Canon Powershot A10 de mon boitier actuel, un Olympus OM-D E-M1 Mk III. Voici ce que je peux dire, aujourd'hui, sur ces anciens équipements dont certains sont toujours en activité !
Voir aussi : mon matériel | Mise à jour : mars 2024
Presque deux ans après mon acquisition d'un G10, exquise surprise pour mon anniversaire : me voilà propriétaire d'un G12 flambant neuf ! Contrairement au G10, l'arrivée de ce nouveau compact n'était pas réfléchie et ne correspondait à aucun besoin puisqu'il s'agit d'un très beau cadeau. Mais à tout bien y réfléchir, si j'avais dû renouveler moi-même le G10, il y a de fortes chances pour que je me sois orienté vers le G12 ou le S95. Car la dernière incarnation de la série G corrigeait en grande partie le plus gros défaut du G10 : sa mauvaise gestion des hautes sensibilités.
Globalement, la qualité des images faisait un réel bon en avant en comparaison du G10. Ce que j'avais perdu en définition était compensé par la qualité générale dès que l'on poussait la sensibilité au-delà de 80 ISO. Au-dessus de 400, c'était presque un autre monde. Cela m'ouvrait des perspectives, comme les photos en basse lumière, qui étaient un cauchemar sur l'ancien APN. En conclusion, le G12 était un compromis qui trouvait sa place entre les compacts de poche et les reflex. Les évolutions par rapport au G10 rendaient ce compromis tout à fait en adéquation avec mes besoins du moment : un APN passe-partout qui ne me quittait jamais.
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Séjour en Guadeloupe du 24 avril au 7 mai 2011.
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Visite du musée de l'air et de l'espace le vendredi 13 avril 2012.
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Visite de la grotte de Saint-Marcel d'Ardèche, sur la route touristique des Gorges, le 13 août 2011.
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Garance Reggae Festival, le jeudi 28 juillet 2011 à Bagnols-sur-Cèze.
Depuis l'été 2008, je réfléchissais à l'achat d'un compact pouvant faire office de complément au K20. Cela partait d'un constat fort simple : le reflex, c'est bien, mais avec tous ses accessoires, cela représente désormais un sac de transport volumineux et lourd à transporter. En revenant des vacances de Noël, avec près de 2 kilomètres à pied, j'ai compris qu'il serait plus judicieux de m'équiper pour de bon d'un appareil plus compact. Pour faire mon choix, je me suis basé sur 3 critères principaux :
Sa fiche technique était sympathique : un zoom comme il faut, une rapidité très honorable, une foule de fonctions ainsi que tous les débrayages de vigueur permettant de faire de la photo plutôt que de laisser l'appareil faire des choix à ma place. Je peux y ajouter de nombreuses molettes rendant sa manipulation plus ergonomique que la plupart des compacts, un écran magnifique (bien meilleur que celui du K20) et un mode vidéo pour le fun que je n'ai quasiment jamais utilisé.
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Visite des grottes de Trabuc, dans le Gard, entre Alès et Anduze, le 15 mai 2010.
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Balade aux cascades du Sautadet, à la Roque-sur-Cèze dans le Gard, le 17 mai 2010.
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Visite des ruines du château de Sabran, le 18 mai 2010.
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Série de photos prises dans les gorges de l'Ardèche le samedi 30 mai 2009.
Après 3 ans de bons et loyaux services et avec plus de 8000 photos à son actif, mon Pentax *ist DS a cédé sa place à du matériel plus récent. Il s'agissait de rester compatible avec mes objectifs. En juillet 2008, contrairement aux fois précédentes, le choix du boitier n'a pas donné lieu à la moindre hésitation : le K20 s'imposait naturellement histoire de conserver la majeure partie de mon équipement. Le plus compliqué, finalement, fut de choisir les optiques. Ayant la possibilité d'acheter un 50-135 SDM d'occasion, j'ai finalement opté pour le kit K20 + Pentax 16-45 f/4.
Quelques mois plus tard, je ne regrettais pas ce choix ! Le K20, c'était un peu comme un IST survitaminé : l'appareil était plus riche et vraiment plus rapide dans tous les domaines. Les deux objectifs étaient très complémentaires, même si, statistiquement, je faisais plus de prises avec le 50-135. Mais le 16-45 demeurait essentiel dans bien des situations.
En revanche, j'ai toujours regretté que les menus restaient aussi bordéliques que sur l'IST. Pentax aurait dû faire un effort dans ce domaine, surtout que la version de Samsung, le GX-20, était bien plus aboutie. Je pestais aussi un peu après la taille des fichiers générés. Les constructeurs d'appareils photo se livraient à l'époque une guerre en forme de concours de B* dans laquelle c'était nos applications et nos disques durs qui souffraient ! J'avais acheté le K20 avec une carte 4 Go, ce qui était loin d'être suffisant. J'ai donc dû commander une autre carte de 8 Go.
Mais une telle résolution - 14 millions de pixels - avait tout de même un avantage : la facilité (et les possibilités) de recadrage des photos étaient sans commune mesure avec le "petit" 6 Mpixels de l'IST et j'avoue que c'est à cette période que j'ai commencé à me régaler dans ce domaine, chose que je faisais très rarement auparavant.
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Balade au Pont du Gard le mercredi 5 août 2009.
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Spectacle "Les Aigles de Beaucaire", le 24 juillet 2008. Photos prises avec le K20 et le 50-135.
La démocratisation du prix des reflex numériques en a fait craquer plus d'un... et tôt ou tard ça devait fatalement m'arriver ! J'ai donc fini par céder en début d'été 2005. Faut le dire, c'est la période idéale. Le Sony F717 était un APN vraiment fantastique qui permettait de faire de très belles photos mais les reflex proposaient des arguments forts :
Près de deux ans après cet achat, je me rendais à l'évidence qu'un reflex apportait une autre dimension à la photo numérique, même comparé au 717. Rapidité, confort, convivialité et autonomie étaient vraiment au rendez-vous avec le petit Pentax. Les accus 2500 me permettaient de faire environ 700 photos ! Je trouvais l'utilisation de l'engin d'une extrême simplicité. Contre toute attente, car on pouvait s'imaginer que ce genre d'APN était complexe à utiliser en raison des possibilités offertes. Au bout du compte, l'approche plus traditionnelle que les compacts ou "bridges" s'est vite transformée en avantage décisif.
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Grand-Prix de Formule 1 de Catalogne, à Barcelone en Espagne, du 12 au 14 mai 2006.
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Visite de la bambouseraie d'Anduze le jeudi 4 août 2005.
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Visite de la ferme aux crocodiles de Pierrelatte, le jeudi 28 juillet 2005.
Cet appareil m'a fait baver pendant de nombreux mois... et j'ai craqué ! L'envie de renouvellement par rapport au P9 correspondait aux critères suivants : un APN totalement débrayable, en 4 ou 5 millions de pixels, avec un objectif offrant la possibilité d'ajouter des compléments optiques, une bague pour le zoom et la mise au point manuelle. Sans oublier une meilleure autonomie.
Mon choix s'est "naturellement" porté vers le Minolta 7Hi, le Nikon CP5700 et le Sony F717, les trois "stars" de l'époque dans cette gamme de "bridges experts". J'ai finalement adopté le Sony qui me semblait un bon compromis caractéristiques / qualité / prix face aux deux autres. L'économie était importante compte tenu du fait que j'avais déjà le support de stockage (MS 128 Mo) hérité du P9. Comparé à ce dernier, l'handicap certain de l'encombrement et du poids du F717 me semblaient compensés par de très nombreux points positifs :
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Spectacle de Night Orchestra le 8 août 2004 à Carbonne.
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Spectacle de Night Orchestra le 8 août 2003 à Tuchan.
Passage à la vitesse "supérieure" avant l'été 2002 avec l'adoption d'un Sony 4 mégapixels. J'avais hésité à l'époque avec le S85, beaucoup plus complet, mais également plus gros et plus onéreux. Bien que je ne regrette pas l'achat du P9, je pense que j'aurais dû dès le départ partir vers un modèle comme le S85. Le P9 était un appareil compact tout automatique qui faisait de belles photos, mais l'impossibilité de débrailler l'automatisme pour définir ne serait-ce que la priorité à l'ouverture ou à la vitesse est vite devenue handicapante pour quelqu'un qui voulait faire autre chose que des photos souvenirs !
Autre problème, les photos montraient beaucoup de bruit dès que les conditions de lumières étaient difficiles. Dernier point, l'autonomie de la batterie était très juste, mais c'était toujours mieux que les piles du Canon ! Côté positif, j'appréciais la qualité globale des photos et la très grande facilité d'utilisation, rendant cet APN idéal pour du "Point and Shoot". D'autant que c'était un poids plume très peu encombrant.
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Balade dans une rame de métro Sprague Thomson sur la ligne 6, à Paris, le 1er septembre 2002.
Mon premier appareil photo numérique avec lequel j'ai enfin pu me remettre à la photographie. Lorsque j'ai acheté le Canon, cela faisait des années que je ne m'étais pas replongé dans cet univers passionnant, domaine que j'avais pourtant beaucoup apprécié lorsque j'étais môme et même adolescent. Et pour cause, mon père a toujours été passionné de photo et en m'en a fait profiter assez tôt.
Le Canon A10 était un 1,3 Mpixels. Dans les points positifs, j'ai adoré l'ergonomie de cet appareil, le mode panoramique et les couleurs chaudes (souvent trop saturées, il faut le reconnaître) des photos réalisées. En revanche le A10 était un véritable gouffre à piles et le capteur 1,3 Mpixels trouvait vite ses limites : les images complexes manquaient de détails... Mais il faut se remettre dans le contexte : en 2001, les appareils photos numériques étaient encore balbutiants ! En conclusion, ce fut un très bon outil d'initiation pour moi.